Nivea au Brésil recharge vos batteries au soleil

Voilà une campagne intelligente pour Nivea au Brésil : Bien protégée par les produits de la gamme solaire, inutile de quitter le soleil, pas même pour recharger votre smartphone.

L’idée ? C’est très simple : Une fois que vous aurez généreusement appliqué sur votre peau les produits de la gamme solaire Nivea vous serez parfaitement protégée et vous n’aurez plus besoin de quitter le soleil, ne serait-ce pour recharger votre smartphone.

Nivea a donc fait encarter des chargeurs solaires dans des magazines, sur une page cartonnée et découpable. C’est du marketing utile, et pas du tout de l’interruption. Et puis il y a fort à parier que les chargeurs solaires – très rustiques – passeront l’été à portée de la main, toujours dans un coin du sac de plage, et qu’à chaque utilisation la marque sera bien visible et mémorisée par la cliente.

Je valide ;)

[Update 25 Juin] Cette campagne vient de recevoir un Silver Lion à Cannes.

Adidas NEO Window Shopping : Silver Lion à Cannes

Adidas et TBWA\HELSINKI ont mis au point pour Adidas un prototype de vitrine marchande intéractive. Voilà qui met un sérieux coup de vieux au dispositif d’écran tactile en boutique – toujours pour Adidas – dont je vous avais déjà parlé il y a deux ans ce ça.

Pas étonnant que cette nouvelle réalisation ait reçu cette semaine un Silver Lions à Cannes. C’est mérité. Par rapport au précédent dispositif en boutique, celui-ci est accessible même en dehors des horaires d’ouverture de la boutique. C’est une vraie justification en soi à ce proto, alors que le précedent était du coup plus un gadget qu’autre chose. Et puis l’expérience utilisateur a été très bien pensée et conçue pour être la plus directe possible, sans nécessiter l’installation d’une app sur son mobile, et aussi sans obligation de terminer par une phase d’achat effectif : en effet, on peut laisser sa sélection dans son panier pour la revoir plus tard et décider ultérieurement, à tête reposée, si on souhaite convertir ou pas.

Je vous laisse découvrir la version longue de la vidéo de présentation ci-dessous. Elle nous promet une suite avec un prochain proto encore plus évolué. Et si vous êtes préssé(e)s, vous pouvez trouver une version plus courte de la vidéo sur cette page.

Enjoy!

Burberry “World of Kisses” avec du Google+ dedans

La dernière campagne en date pour Burberry, nommée “World of Kisses”, a été réalisée avec le concours de Google. Cette campagne permet à un internaute d’envoyer un tendre baiser à l’élu(e) de son coeur par voie électronique. C’est joliment réalisé, c’est léger et ça respecte les codes du domaine.

Mais pourquoi avec le concours de Google, me demanderez vous ? Et bien parce qu’entre autres, cette campagne utilise certaines APIs de Google+, en vous permettant par exemple de sélectionner la ou le destinataire de votre message enflammé parmi vos amis et contacts dans Google+. Okay. Admettons.

Au delà de ça, on reste un peu sur sa faim, car d’un point de vue expérientiel, il ne se passe pas beaucoup plus de choses que quand on envoie une carte d’anniversaire à tante Jeannine via Dromadaire.com. C’est un peu décevant.

Je vous laisse tout de même apprécier le trailer de la campagne, où la patte de Google est indéniable tant les codes des vidéos de pub de la marque qui sont devenus célèbres depuis le film “Parisian Love” y sont présents : les gens n’utilisent pas des iPhones mais des Android, on utilise le moteur de recherche Google, et bien entendu depuis un navigateur Chrome. Forcément.

Enfin, vous pouvez tenter l’expérience par vous même : Branchez votre webcam et capturez votre baiser. C’est sans Flash, mais on ne sait pas si on doit s’en réjouir ou pas. A priori mon Mac n’apprécie que moyennement et passe en mode “PNC aux portes, décollage imminent”. Si c’était supposé être une vitrine technologique, c’est un peu loupé :)

[Edit] Il y a un Case Study à propos de cette opé sur Google Creative Sandbox.

Orangina “Mission 404” : La Revanche des Sites

Mission 404Plus d’un million de vues en à peine une semaine. D’aucuns diront que c’est déjà un gros succès. A n’en pas douter. La production – de ce qui pour l’instant se résume à un film publicitaire – a été déjà copieusement commentée, disséquée et interviewée.

Personnellement, ma première réaction a été #NotImpressed. Depuis, et malgré en avoir discuté et débattu avec plusieurs personnes autour de moi, je reste toujours sur ma faim. Je m’explique.

Yet Another Film de Pub – Sans pulpe

Pour le moment, tout ce qu’on nous donne à voir c’est un film publicitaire. Appelez ça du Brand Content si ça vous chante, mais ça reste un film publicitaire. Où sont les relais sur le digital ? Alors oui il y a bien un compte KarateSwag22 sur YouTube qui contient la vidéo qu’on voit en début de film. Mais c’est tout.

Alors oui c’est bien réalisé, très propre, et on sent qu’il y a du boulot et des moyens, des gros moyens même. Mais ça ne fait pas tout.

Où sont les relais sur le digital ?

Il y a bien aussi compte twitter @KarateSwag22 – qui n’était d’ailleurs pas dispo le jour du lancement du film (sic!) je le sais j’ai checké – mais à ce jour ce compte twitter @KarateSwag22 n’affiche que 8 tweets et 7 followers au compteur. WTF!?

[Edit] OK, j’ai trouvé via twitter un autre point de présence en ligne. Pas mal le clin d’oeil, ambiance perdu.com, j’avoue :

 

L’écriture est tout de même un peu facile

Deux collectifs de jeunes humoristes créatifs, un vingtaine de personnes nous dit-on, et au final quelques gags bien trouvés – j’en conviens – mais dans le corps de l’histoire, ça manque un peu de profondeur. A titre de comparaison, je vous invite à regarder cette autre vidéo de Cracked.com (merci @Cel_ina !) qui met également en scène les sites et services en ligne bien connus sous la forme de personnes, et là vous conviendrez avec moi que c’est autrement plus fouillé et travaillé.

Pourquoi et sur la base de quoi avoir déterminé dans Mission 404 que les tweets seraient des méchants alors que Facebook est un gentil ? Le perso de Instagram ne sert absolument à rien, il prend des photos de temps en temps, mais il ne dit pas un mot et n’a pratiquement pas d’interaction avec les autres persos. Peut être qu’on aurait pu en faire le petit protégé de Facebook qui finit pas lui prendre la vedette, j’sais pas juste comme ça ?

Je ne parlerai même pas des deux ou trois répliques où la grossièreté est vraiment gratuite et n’apporte rien, sinon vous allez me prendre pour un vieux con réac :) (mais tout de même j’ai bien entendu – je cite “suce des queues, connard” ? et c’est supposé être tous publics ?)

Regardez à nouveau la vidéo de Cracked.com. C’est tout de même autrement plus fin et plus fouillé, non ?

Mais bon, au final…

Au final, ils affichent déjà plus d’un million de vues au bout d’une semaine. Pas dégueu. On verra ce que donnera le score final et si le film arrive à sortir du web et si notre petit cousin et notre tata Jeannine en entendent parler. Et puis il n’est pas impossible qu’il y ait une suite, ou a minima des relais sur le digital. Mais je trouve que ça commence à se faire un peu attendre. J’ai comme un doute.

A suivre…

[Edit 23 Juin 2013] : A l’occasion des 2 millions de vues, la prod nous propose un reportage interview sur la projection en avant-première. En toute simplicité. Et on y apprend que Mission 404 est “un petit film distribué gratuitement sur le web” (sic!) “auquel collaborent des humoristes stars du web” (re-sic!)

Agreed: Social Media Listening is not the same as Research

Earlier today, I was doing my daily routine of reading blogs in my Google Reader selection and I came found the following post titled “Social Media Listening is Not the Same as Research”, which appears to be a modified reprint of another article titled “Four Reasons Why Social Media Listening is not the same as Research”, written by Julie Schwartz who is Senior VP of Research and Thought Leadership at ITSMA.

The author’s point of view

In the later post, the author elaborates four points on why Social Media Listening cannot replace classic marketing research, based on customer panels and interviews.

Here are the four points, unedited and as present in the article:

1 – Doesn’t ask the questions you want to ask
2 – Doesn’t come up with a hypothesis and get the data to support (or refute!) your hypothesis
3 – Doesn’t comprise a representative sample
4 – Doesn’t tell you what might happen in the future; rather, it’s a window into the past

Later in the same article, the author agrees that Social Media Listening can still provide some benefits, and she mentions:

– Provide qualitative insights
– Reveal unmet needs
– Test ideas in real time
– Collect data

My point of view

While I tend to agree with most of the points listed as potential benefits, I don’t agree with the four points why social listening could not replace research. And here’s why.

1 – Doesn’t ask the questions you want to ask

This is wrong to think so.
Every day, hundreds of thousands of comments, conversations, and statuses are published on social networks, in online forums, in comments on websites, in product reviews. It’s up to you as a researcher to come up with the appropriate queries in the social listening tools in order to filter out noise and to only get the verbatim that are relevant for a given question, and to narrow down the result set to something that is at the same time not too big – so that each comment or status can be analyzed by a human, and not by some automatic sentiment analysis piece of software – and also not too small so that it still remains statistically correct.

2 – Doesn’t come up with a hypothesis and get the data to support (or refute!) your hypothesis

Wrong again, it’s exactly how we proceed: the process starts with some work sessions with the client where we scope the project, define the research areas and the questions to be answered. It’s also the moment where we get internal inputs, business and domain knowledge and specific terms and jargon, if needed. Then comes a phase of initial listening where the first hypothesis are either confirmed or refuted. If the later happens, we loop back and rescope the project, and go for another run.

3 – Doesn’t comprise a representative sample

Maybe. But maybe not. If you consider that the population of the internet users are a special part of the society, you may be right. But if you’re trying to figure out some effective online tactics, it’s likely that you’re not considering non-internet users in your research, and as a result, online conversations on social networks are a pretty representative sample, on the contrary :)

4 – Doesn’t tell you what might happen in the future; rather, it’s a window into the past

Honestly, I don’t buy into all this trends around “predictive analytics”. It’s too much of rocket science, and you never know what happens. What happens in the future depends on what WE do today, so yes I agree, you need to make your strategic decisions on something more scientific that your instinct and best guesses.

Benefits of Social Media Deep Listening

Now let me highlight some specific benefits of doing Social Media Listening for a business:

– Flexibility: you can ask as many questions as you like, come back after some initial findings, rescope and ask explore new directions. Ad lib. Databases and listening tools never get tired of answering.

– Short cycles: results can be obtained in days or weeks, not in months. These near real-time capabilities mean that you can detect early signals and take timely actions.

– You can expect the unexpected: because your queries will bring you a series of unfiltered verbatim, you can expect to find answers to questions which you would have never thought asking in the first place, even if you’re a very experimented researcher who has conducted hundred of panels and interviews.

– Authenticity: when consumers publish a status on a social network, they speak they voice, and they really say what they mean. They’re not influenced by the way the question is asked or they do not have to choose their answer from a made up list.

– Real language: also, as a consequence of the previous, consumers user their actual real language, which may differ from yours. If you study this carefully, this can give you interesting hints on some keywords that you could then use to create specific content, and also for SEO.

– No borders, no limits: You’re not bound to a given geography, and you can do the same listening for different regions or areas and observe the differences. You could then fine-tune your marketing to create location-based campaigns.

– Beyond just marketing: of course, the first departments who would benefit of social listening in a company would be marketing and sales, but not only: there are also findings that could be very valuable all along the conversion funnel: from sales, to customer support, product design & engineering, or innovation.

– Listen to the unreachable: also, this process of social listening are very convenient for those businesses who do not have a direct access to their end customers, either because they do not own their sales channel, or because there are B2B2C or because they are some kind of regulated industry. Being able to listen to unreachable customers is something of big value.

Final word

So, I’m sure you’re now convinced that Social Listening has definitely some unique business value. Some famous market research companies have also already got it, like for instance Ipsos who announced a similar offering one year ago, and I’m sure they would agree with me.

Social Media Listening is not the same as Research

On a final note, I would say that yes, I do agree with the title, but not for the same reasons :)

Curious to ear more? Convinced? Want to give it a try?

The good news is that “Social Media Listening” is something that we at Valtech do for our customers, and we have some pretty strong references and case studies in this domain. Contact us if you can to know more, and we’ll be happy to get in touch with you and to setup a meeting.

[Edit] : Corrected job title for blog most author mentioned.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Si on est un peu attentif, en se promenant et en passant un peu de temps à New-York, on s’aperçoit rapidement que twitter et les réseaux sociaux ici sont complètement intégrés dans le quotidien et que ça n’a plus l’air de surprendre personne. Voyez plutôt, à travers quelques exemples.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand la moindre publicité dans le métro comporte un QR code, la mention d’un compte twitter et la mention d’une page Facebook.

(On notera au passage le super jeu de mots “What the Helsinki”. No comments :))

Et oui, il y a du réseau en station donc on peut effectivement flasher le QRCode depuis le quai. Wait marketing, you said?

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand au détour d’une avenue de Manhattan tu rencontres par hasard un billboard géant qui t’invite à partager des photos en utilisant le hashtag #GoForth pour une campagne de Levi’s.

Sur l’écran du bas, la photo s’affiche alors avec le nom du compte twitter de son auteur, et l’écran de droite présente le contenu textuel du tweet.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand les “spécials” dans les cafés et les restaurants te donnent effectivement envie de pousser la porte et de réclamer ta promo.

NB: Caffé Bene est une chaine de café d’origine Coréenne qui met en avant les produits plus sains et plus naturels : Moins de sucre, moins de graisses etc. C’est un peu le Starbucks façon “Seoul Style”. Et oui vous aviez deviné que le “Mojito” en question est un Virgin Mojito, une boisson sans alcool. Bien sur.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand une des attractions qui captive le plus les touristes à Times Square est cet écran géant qui propose plusieurs jeux intéractifs, certains à base de détection de mouvements avec des caméras braquées sur la foule, et d’autres tels celui ci dans lequel on participe en votant avec un tweet comportant soit le hashtag #DunkGirl soir #DunkGuy.

Voir le billet complet sur le blog SoParticular.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand les infos à la télé utilisent carrément tweetdeck en plein écran pour surveiller la progression de l’ouragan Sandy – image capturée le lundi 29 octobre, avant la nuit tragique.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York dans le quartier de la mode et des créateurs – le Meatpacking District – quand un petit camion de livraison de chips se transforme en galerie d’expo et de vente d’accessoires de mode, “The Style Liner” affiche fièrement son compte twitter en guise de contact à l’arrière.

Oui, les food trucks c’est presque déjà has-been ;)

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand tu as du WiFi gratuit dans le métro – OK pas dans toutes les stations de toutes les lignes. Ici c’est à la station 42th Street sur la ligne A / C / E.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand Tropicana lance une grande campagne crowd-sourcée basée sur des tweets et des hashtags. Les messages sont issus de tweets, et son ensuite affichés en station, sur les arrêts de bus, dans des commerces, sur les bus, etc…

La campagne a été remarquée mais les résultats en termes de followers twitter sont visiblement assez décevants, enfin au moins à première vue.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand twitter est omniprésent pendant la campagne présidentielle, que les tweets s’invitent en arrière-plan derrière le candidat Obama et que NBC affiche le hashtag #NBCPolitics en bas de l’image pendant l’intégralité de la retransmission du dernier débat télévisé entre les deux candidats Obama et Romney.

Le soir de l’élection, avant les premiers résultats on dénombrait déjà plus de 11 millions de tweets (source: LeSoir.be)

[Edit] Une de plus : Bertrand nous parle d’une nouvelle campagne de Mc Donald’s à base de hashtag twitter.

Tu sais que tu es à New-York quand …

Tu sais que tu es à New-York quand tu continues à en découvrir chaque jour. Et il m’en reste tellement à voir. Mais promis, je vous en partagerai d’autres morceaux ;)

Cinq exemplaires du fameux guide Internet Marketing de l’EBG à gagner !

Je vous propose via l’EBG de vous faire gagner un des cinq exemplaires du Guide EBG Internet Marketing 2012. C’est un petit quizz facile… Allez-y :)

Comment ? Vous ne connaissez pas encore le guide Internet Marketing de l’EBG ? Vous n’en avez jamais eu un exemplaire en main ? Vous n’avez jamais assisté à une de ses soirées de lancement ?

Bon, on se pose, prenez cinq minutes : j’ai des choses à vous dire…

C’est devenu un rituel dans le petit monde de la comm, du web marketing et du ebusiness : chaque année l’EBG édite la nouvelle mouture de celui que les afficionados surnomment le “petit livre rouge” du web marketing, et organisent une grande soirée de networking entre professionnels agences + annonceurs pour l’occasion. Incontournable.

L’EBG, c’est une vraie communauté qui regroupe plus de 500 entreprises, dont la majorité des entreprises du SBF 120 (excusez du peu!) et organise plus de 120 conférences par an, dont les emblématiques “What’s Hot”, et des évènements de tout premier ordre comme son Assemblée Générale annuelle, ou des diners de networking avec le “Diner EBG 500” qui regroupe 500 convives. Vous devriez déjà avoir cliqué sur “Like” sur la page Facebook de l’EBG pour vous assurer d’être tenu au courant des actus et events à venir. Petit conseil gratuit en passant :)

L’EBG c’est aussi une équipe très dynamique de passionnés. C’est toujours agréable de travailler avec eux :) Alors “Haterz gonna hate” peut-être mais je m’en fiche, c’est sincèrement ce que je pense.

Pourquoi est-ce que je vous parle du petit livre rouge Internet Marketing 2012 ?

Parce qu’au delà de toute promo facile par copinage ou opportunisme, c’est un guide que je m’achète chaque année (sur note de frais, j’avoue !) et que j’ai toujours du plaisir à lire et à parcourir : sur plus de 300 pages le contenu alterne entre des articles de fond, de la théorie, et plus d’un cinquantaines de campagnes digitales décortiquées en détail, façon Case Study.

Cinq exemplaires à gagner !

Via Willy Braun – dont je me suis laissé dire qu’il serait au manettes pour le chantier de l’édition 2013 du guide – je vous propose de participer à un petit jeu facile qui vous permettra à cinq d’entre vous de gagner un exemplaire de ce guide qui est vendu par ailleurs au prix unique et forfaitaire de 59€. Prix d’amis :)

Il y a bien 5 exemplaires à gagner rien que pour vous, mes fidèles lecteurs de ce blog… Ca me permettra aussi de vérifier si vous êtes plus de 5 ou pas :)

A vous de jouer :)

DO’s and DON’Ts of Social Analytics – Conference material

This morning in Paris was our event “Social Media Analytics”, with our partners from comScore and Adobe.

Here is my presentation about the Do’s and Don’ts of Social Analytics. This is the director’s cut version, along with the comments. You can download the PDF version.

Enjoy!